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En Afrique, les premières tentatives pour une organisation rationnelle des recherches en tradition orale furent entreprises dans le cadre du projet de rédaction d’une histoire générale de l’Afrique adopté par la quatorzième session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1964. En 1966, le Comité Scientifique International de l’UNESCO en charge de ce projet, après avoir identifié les sources orales, écrites,  archéologiques, etc. -, a recommandé à l’UNESCO de « garder la plus haute priorité à l’aide en vue de la collecte, de la conservation et de l’utilisation des données de la tradition orale (et de) favoriser la création en Afrique de centres de documentation pour la tradition orale ».

C’est ainsi que fut créé le Centre de Recherche et de Documentation pour la Tradition Orale (CRDTO) à Niamey en 1968. Quelques années après, en 1974, le CRDTO de Niamey fût intégré dans l’organigramme de l’Organisation de l’Unité Africaine sous le nom de Centre d’Etudes Linguistiques et Historiques par Tradition Orale (CELHTO).

Le centre est de nos jours, une référence pour la collecte et l’exploitation des données de la tradition orale en Afrique.

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